Corneillie eu vent de la venu du Chambellan de Franche comté. Le vice Chambellan de Champagne, dame hersent, lui avait fait porter une missive de cette franc comtoise afin de lui faire part d'une volonté d'un traité de coopération judiciaire. Corneillie s'empressa d'aller à sa rencontre.
CORNEILLIE : Excellence, c'est un plaisir de vous rencontrer. Soyez la bienvenue en Champagne et en notre castel. Laissez-moi-vous conduire dans un endroit plus confortable
Corneillie la dirige alors vers un salon plus intime, et lui offrant un siège, et s'installant elle même en face d'elle.
Puis elle somme un valet d'aller inviter le vice Chambellan à cette réunion, et d'apporter aussi quelques mets et boisson pour mieux accueillir leur hôte.
CORNEILLIE : alors, quel bon vent vous amène chez nous ? J’ai bien reçu votre courrier, et je dois dire que le vice Chambellan de Champagne, qui devrait sous peu nous rejoindre vous à apporter une réponse juste. Aussi j'ai d'or et déjà transmis votre requête au salon des diplomates du domaine Royal, et a été retransmise aux grande ambassades. Ce traité doit se faire avec l'aval de la couronne pour notre partie, et peut être avec celui du SRING pour la Franche comté ?